Les investissements publicitaires de vidéos en ligne (TVA+, TOU.tv, Crave, Netflix, Prime, Disney, YouTube, etc.) versus la télé linéaire sont disproportionnés par rapport à leur consommation.
Ce qui l'explique, selon nous :
- Les coûts de production des vidéos en ligne : c'est moins cher
- Le data : on a accès à des statistiques
- Nos biais : on peut supposer que les acheteurs médias tombent dans le piège de placer dans ce qu'ils consomment plutôt que dans ce que leur clientèle cible consomme!
La force de notre travail au quotidien est là.
Nos analyses et nos réflexions stratégiques sont impartiales et fondées sur les faits. On pousse plus loin pour maximiser le budget publicitaire de nos clients!
Beez a eu 20 ans cette année, c’est beau, c’est gros. Je pense que la beauté dans tout ça est surtout la fidélité que nos clients nous portent. La fidélité client rime aussi avec référencement et il n’y a rien de plus précieux que la référence d’un client.
La meilleure preuve de reconnaissance qui existe
Gens en vente ou en affaires, vous me comprendrez sans doute : rien ne démontre plus la satisfaction d’un client que de se faire référer. N’est-ce pas? Une personne ne réfèrera jamais quelqu’un en qui elle n’a pas confiance. Une référence, c’est flatteur, c’est smatt, touchant. Nos clients nous le démontrent souvent qu’ils sont satisfaits, heureux de leurs résultats, et fiers de faire partie de la famille Beez. Pour moi, c’est le comble du bonheur lorsqu’ils nous réfèrent à leurs connaissances, car les actions pèsent plus que les mots.
Le temps, c’est de l’argent!
C’est payant pour une entreprise, car c’est quasiment un mandat assuré. Le développement des affaires que la directrice de compte a à faire est complètement différent que pour celui d’un prospect. On s’entend, je ne dis pas qu’il y a moins d’amour et d’énergie à mettre, bien au contraire! Par contre, ça amène un point commun qui facilite les premiers échanges.
C’est comme quand ta meilleure amie te présente l’homme de ta vie : tu lui fais confiance les yeux fermés, car elle te connait plus que quiconque et connait souvent mieux tes goûts/tes besoins. Tu vas y aller parce que tu as confiance en elle et que tu le sais qu’elle ne te présenterait pas un « tout croche » (en tout cas, j’espère, sinon change de meilleure amie). L’étape du flirt est un peu moins intense, un peu moins stressante. Cela ne veut cependant pas dire qu’on n’a pas de piquant à mettre et qu’on ne doit pas livrer la marchandise.
Gérer la pression supplémentaire
Bien sûr que c’est l’fun et gratifiant. Par contre, ça vient aussi avec son lot de défis et une belle pression : celle de ne pas décevoir la personne qui nous a référé. En toute transparence, il n’y aurait rien de plus GÊNANT qu’un mandat qui ne va pas bien alors que c’est un client de longue date qui nous aurait référé. Nous sommes humains et nous ne sommes pas à l’abri d’une erreur même si on fait tout pour les éviter. Évidemment, tout est dans la manière de rectifier le tir, de gérer et d’apporter des correctifs.
La confiance est le pilier de notre réussite. À chaque fois qu’un client nous réfère, on le prend comme un cadeau et c’est la preuve de la confiance que l’on a bâti au fil des ans. C’est plus qu’une opportunité d’affaires, c’est un témoignage de satisfaction, une reconnaissance de grande valeur.
Comment ça se vit chez nous la gestion responsabilisante et participative?
On me demande souvent ce que c'est? Comment on y arrive? Pourquoi on aime ce modèle de gestion?
C'est très humblement que je vous partage des idées et concepts qui marchent chez Beez, autant pour moi que pour les gens que j’embauche.
Culture d’entreprise
Premièrement, Il y a une culture d’entreprise qui doit être définie (bien qu’en constante évolution) et endossée par tous les membres de l’équipe. Quand une personne fit moins, ça se sent très rapidement. L’empathie, l’entraide et la générosité deviennent des qualités qui favorisent une belle cohésion.
Être capable de s’arrêter et réfléchir
Mettre en place un mode de gestion participative et responsabilisante, ça ne se fait pas en criant ciseaux... et ça commence bien avant qu’on décide de l’appeler comme ça! Depuis 20 ans chez Beez, le concept de réunion annuelle existe. C'est un moment de réflexion, de mise au point, de direction et d’enlignements stratégiques. Ça m'a toujours paru très juste et normal de partager une vision avec l’équipe si je veux qu’on avance ensemble dans la même direction.
Pendant longtemps, j’ai fait ça à 2, en ayant préalablement consulté l’équipe, mais en ayant, aussi, cette fausse impression que je devais dire où et comment y aller. De retour, je prenais le temps de transmettre à l’équipe. Maintenant, c’est en groupe que ça se passe. Les problématiques et les opportunités, on les observe et on les gère ensemble.
Croire en l’intelligence collective
Ça prend une bonne dose d'ouverture et beaucoup d’écoute. Les gens n’ont pas toujours les bons mots et ne mettent pas toujours le doigt exactement sur le bobo, mais ils savent puisqu’ils baignent dedans au quotidien. C’est eux qui ont l’information et c’est en réfléchissant ensemble qu’on a les réponses et solutions. Ainsi, en se mettant tous au même diapason, tout se met en branle de façon assez magique, et ce, avant même que le plan de match ne soit terminé!
On est co-responsable
C’est là qu’entre en jeu la co-responsabilité. La fameuse phrase « Ensemble on va plus loin » est tellement vraie. Le leader qui veut tout diriger et contrôler est, selon moi, voué à la fatigue et à l’échec, car pousser les gens est vraiment épuisant. Porter seul la charge de dossier peut-être démotivant et lourd. On n'a pas tous les talents d'où l'importance que chacun soit dans ses forces. On est, aussi, co-responsable de l’esprit d’une équipe et de son niveau de bonheur!
voir vidéo inspirante: https://www.youtube.com/watch?v=tuE-P9_Dm8U
Être réaliste dans les attentes
Tous les défis ne sont pas à la portée de tous et de manière égale et équitable. Un nouveau qui débute sa carrière n’a pas la même expérience pour décortiquer et analyser un projet ni pour rebondir. Il est important de donner des responsabilités à leur hauteur. Dans un environnement de ce genre, tous veulent contribuer et se rendre utiles. C’est pourquoi je divise les projets et dossiers et que je demande qui se sent interpellé pour le prendre en charge ou pour collaborer avec le responsable du projet. Il y a, aussi, les projets comme le party de Noël, qui peuvent être à la charge d’un nouveau. On s’entend que c’est une belle façon de se faire les dents sans que les conséquences puissent être trop difficiles. Apprendre à la dure a ses bons côtés, mais je préfère la douceur! En bonus, j’ai la chance de vivre un party de Noël complètement différent d’une année à l’autre, qui en plus est une totale surprise (pour moi qui adore les surprises en plus, c'est win-win!)
Être à l’écoute et se donner du temps
Les équipes ont besoin de me consulter. L’idée n’est pas qu’elles se sentent pitcher dans l’inconnu, comme il n’y a pas de médaille pour avoir tout fait sans demander de l'aide ou un avis, bien que j’encourage l’autonomie et la débrouillardise. Ça prend du temps, on fait des tests, il y a des concepts qu’on questionne, revisite, qu’on améliore et d’autres qu’on ne reconduit tout simplement pas. La plupart, pour ma plus grande joie, s’améliorent. Mais l’écoute doit être une qualité primordiale, car lorsqu’on écoute bien, on sait!
Il nous arrive même de méditer pour mieux écouter. Ça peut sembler bizarre les premières fois pour certaines personnes et ça me gênait, moi aussi, les premières fois, mais l’équipe le demande. Ça doit faire du bien à tout le monde finalement.
En fin de compte, c'est une foule de choses qui font que ça marche pour moi, pour Beez. On travaille fort, dans un but commun, tous dans le même bateau et on va plus loin, ensemble.
«Savoir faire, c’est une chose. Savoir ce qu’il ne faut pas faire, c’est presque aussi important.»
- Marcel Bleustein-Blanchet
Piège no 1 – Vouloir le beurre, l’argent du beurre et la fermière avec!
Bien choisir votre objectif est primordial… à courir plusieurs lièvres à la fois on risque de n'en tuer aucun.
Astuce: Identifier vos problématiques peut vous aider à choisir son objectif.
Piège no 2 - Je. Me. Moi.
Faire des choix en fonction de vous, l'un des pièges les plus durs à éviter!
On n’est pas nécessairement la cible. Il faut avoir du recul et être objectif en pub.
Astuce : Précisez vos clientèles et déterminez vos personas. Mieux: affichez vos personas dans votre bureau et, pour chaque décision, demandez-vous si votre persona est d’accord.
Piège no 3 - Faire des petits sploushs!
C'est-à-dire vouloir tout faire, mais un petit peu.
Faire le plein quelque part pour se différencier est primordial.
On ne peut pas tout faire, vaut mieux faire une chose bien que cinq ordinaires.
Astuce : Visez la fréquence.
Piège no 4 – Avoir peur de se mouiller.
Ou mettre un peu de budget « pour voir ».
On vous aura avertis : ça ne donnera pas de résultats.
Ça prend un minimum d'investissement pour faire une bonne campagne.
Astuce : Demandez au média le budget minimum pour faire une bonne campagne, et non le budget minimum pour faire une campagne.
Piège no 5 – Pêcher quand y'a pas de poisson.
L'idée de mettre des dollars pub dans les périodes creuses... vaut mieux pêcher quand il y a du poisson!
Faites le plein des mois payants avant de mettre du temps, de l’énergie et des dollars dans les mois faibles.
Astuce : Mettez vos dollars pub lorsque votre client est prêt à consommer.
Piège no 6 – Se laisser mettre de la poudre aux yeux.
Tous les médias sont bons, ils ont tous des forces et des faiblesses... mais il faut choisir ceux qui joignent notre cible.
Ne vous laissez pas convaincre par les belles présentations médias.
Astuce : Demandez aux médias des statistiques sur le profil de leur auditoire et évaluez-les sur une même base pour choisir le meilleur pour vous. Attention, le nombre de personnes qui consomment le média n'est pas la statistique la plus pertinente. Même un Pepsi de ce monde n'a pas les dollars pour acheter l'inventaire complet d'un million de lecteurs par mois!
Piège no 7 – Faire des pizzas.
À vouloir tout dire, on ne dit rien.
On veut souvent donner plusieurs informations dans une publicité, on veut tout dire quoi!
Une publicité trop chargée ne passe pas le message que l’on veut et ne retient pas l’attention.
Un visuel = un message
À éviter : Ne mettez pas votre numéro de téléphone dans vos pubs télé, radio et affichage.
Piège no 8 – Rester assis sur son steak.
L'indécision et l'inaction ... trop c'est comme pas assez!
Prendre le temps de bien évaluer, réfléchir aux multiples possibilités, oui, mais pas à en virer fou et figer.
Il existe des milliers de stratégies possibles, il faut prendre des décisions (il y a plusieurs bonnes solutions).
Piège no 9 – Mon beau-frère est capable.
Ou lésiner sur le budget de production.
La production est souvent l’enfant pauvre de la publicité. Il faut se démarquer, car la créativité est primordiale.
En plus du concept percutant, il faut adapter vos productions en fonction de vos personas (on ne s’adresse pas de la même façon à un adulte de 35 ans qu’à une femme de 65 ans) et des médias (on ne met pas le même visuel dans une pub journal que sur un statique Facebook).
Piège no 10 - Abracadabra!
Penser que la publicité c’est magique... bin non.
Il n’y a rien de magique, s’il y avait une recette magique, tout le monde serait millionnaire et se la coulerait douce.
Soyez réaliste...Ne pensez pas qu’avec deux semaines de pub le monde va faire la file.