Apple lance iOS 26 en septembre 2025 avec l’iPhone 17. Comme toujours, Apple met la confidentialité en avant : protéger les données personnelles de ses utilisateurs est devenu son argument de vente.

Et ça touche directement le marketing numérique.

Le problème : le suivi des campagnes devient flou

Normalement, quand vous lancez plusieurs campagnes (par exemple une sur Google, une sur Facebook/Instagram, et une par courriel), vous ajoutez de petits « mots-clés » au bout des liens. Ce sont les UTM.

Ces UTM disent à votre site : « Cette personne vient de Google » ou « Elle a cliqué dans mon infolettre ». Grâce à ça, vous savez quelle publicité a rapporté le plus de résultats.

Avec iOS 26, Safari (le navigateur), Mail et Messages suppriment automatiquement ces UTM. Résultat : Les visites arrivent sur votre site, mais vous ne savez plus d’où elles viennent.

    Vos rapports risquent donc de montrer une chute artificielle de performance sur certains canaux, alors que vos publicités fonctionnent toujours.

    Ce n’est pas la première fois

    Depuis quelques années, suivre les utilisateurs est devenu de plus en plus difficile :

    • Les bannières de consentement (cookies) bloquent souvent le suivi.
    • La Loi 25, au Québec, oblige à demander un accord clair avant de collecter des données.
    • Depuis iOS 14.5, la majorité des gens refusent d’être suivis via l’option App Tracking Transparency.

    Bref, iOS 26 n’invente pas le problème, il l’aggrave.

    Comment réagir sans se perdre?

    Il existe des solutions simples pour garder une bonne vision de vos résultats :

    1. Ne pas dépendre seulement du navigateur
      Exemple : la Conversion API de Meta permet d’envoyer directement les infos de votre site à Facebook/Instagram. Plus fiable, car ça passe par votre serveur, pas par Safari.
    2. Demander les infos directement à vos clients
      Une inscription à l’infolettre, un compte client, un programme fidélité : ces données vous appartiennent et sont beaucoup plus stables que le suivi automatique.
    3. Analyser les tendances globales
      Au lieu de regarder chaque clic à la loupe, comparez plutôt l’évolution globale de vos ventes, du coût d’acquisition ou du nombre d’inscriptions. Cela vous donne une lecture plus juste.

    iOS 26 rend le suivi publicitaire encore plus compliqué. Mais ça ne veut pas dire que vos campagnes ne fonctionnent plus — seulement que vos outils de mesure deviennent moins précis.

    L’avenir du marketing numérique se joue autour de trois piliers :

    • Miser sur vos propres données,
    • Mettre en place du suivi côté serveur,
    • Apprendre à lire les tendances plutôt que chaque détail.

    Chez Beez, on accompagne nos clients à travers ces changements pour qu’ils gardent le contrôle et puissent prendre des décisions éclairées.

    Ça commence souvent avec un stagiaire ou un coordonnateur marketing débrouillard avec un bon cellulaire. Ça « fait la job », mais ça finit avec des réseaux sociaux qui stagnent, une marque qui n'avance pas et des efforts qui rapportent peu.  

    Comme l’expression le dit si bien « Chacun son métier et les vaches seront bien gardées »! Pour que les choses soient bien faites et donnent les résultats attendus, ça prend du monde qui connait ça. Et une spécialité, ça a un prix! Le temps humain investi, ça coute de l’argent. En 2025, les réseaux sociaux se gèrent avec stratégie et méthode, pas comme une tâche à faire sur le side.  

    Ce qu’on oublie trop souvent 

    Gérer les réseaux sociaux d’une entreprise, c'est plus que publier une photo parce qu’on la trouve belle ou donner des réponses sans saveur aux commentaires.  

    Dans les faits, c’est : 

    • Un travail à temps plein. La stratégie, la création de contenu (photos, vidéos, rédaction...), la veille, la planification éditoriale, la modération… ça ne s’improvise pas entre deux mandats. 
    • Une science de l’algorithme. Chaque plateforme a ses règles, ses formats, ses nuances, etc. Il faut tout considérer, si on veut sortir de l’ombre! 
    • Sans stratégie, pas d’impact. Du contenu générique ne vous démarque pas dans le fil surchargé, il vous rend même invisible. 
    • Des objectifs flous amènent des résultats flous. On se retrouve à célébrer des mentions « j'aime », mais est-ce un objectif logique? Des conversions contribuent pourtant davantage aux objectifs d’affaires! 

    Vos réseaux sociaux sont plus qu’un canal de communication 

    Pendant longtemps, on a vu les réseaux sociaux comme un lieu pour diffuser des informations sur l’entreprise, des photos d’équipe et quelques bons coups. 

    En 2025, les réseaux sociaux sont devenus un canal d’affaires à part entière. Ils influencent toutes les étapes du parcours client. Un consommateur voit votre publication et clique. Il jette un coup d’œil à vos plus récentes publications, les commentaires, votre contenu. Si votre dernière publication date d'il y a 2 mois, ça regarde mal. Au contraire, s’il voit que c’est vivant, engageant et professionnel, ça lui donnera le petit coup de pied nécessaire pour engager une prise de contact. 

    Un réseau mal entretenu, c’est comme une vitrine négligée. Ça nuit à la confiance et vos clients le remarquent. 

    Ce qu’on fait différemment (et pourquoi ça marche) 

    Chez Beez, on traite les réseaux sociaux comme un levier stratégique, pas comme une tâche à cocher. Ça devient un média à part entière. On ne fait pas que les gérer, on devient un membre dédié faisant partie de votre équipe le temps d’une stratégie RS. On pense contenu, en ayant comme objectifs, une performance marquée et des résultats quantifiables.  

    On est à l’affût des tendances, outillée pour performer dans l’algorithme et connectée à vos objectifs. On aligne les réseaux avec ce qui compte le plus pour vous : vos ventes, votre recrutement, votre notoriété, etc.  

    Oui, un bon post, ça fait... mais juste un! Il faut penser établir un bon plan de match avant de publier les prochaines, parce que vos réseaux sociaux sont plus qu’un projet d’été. 

    Acheter local c’est plus qu’acheter des produits d’ici en épicerie. On peut aussi le faire en marketing!   

    Ça fait longtemps que Beez considère les médias canadiens dans ses stratégies. Ce n’est pas seulement pour «encourager» les entreprises d’ici, mais parce que ces médias sont performants et amènent des résultats. Notre écosystème médiatique est solide en raison de notre culture très forte au Québec.  

    Pourquoi investir ici? 

    • Auditoires fidèles, engagés, curieux 
    • Contenu de qualité 
    • Résultats concrets, mesurables, durable  
    • Des conversions 
    • Et oui, on investit dans notre économie. 
     

    Comment?  

    Entre autres, par ces 5 placements coups de cœur 100% canadien :   

    #1 Geofencing (Bell Média, Pelmorex ou Québecor)   

    Rejoindre un client exactement quand il est sur le point de prendre une décision d'achat... c'est un peu le rêve de tous les stratèges médias, non? Avec le geofencing, on se rapproche de ce rêve de plus en plus!

    Il cible les personnes qui visitent des adresses spécifiques pour leur diffuser un message publicitaire. On l’adore, car c’est du marketing intelligent!

    Intégré à une campagne mix-média stratégique et utilisé avec des visuels percutants, ça crée des résultats concrets.

    #2 Plein écran interactif (La Presse)  
    Parfois, la meilleure pub ce n’est pas une pub : c’est plutôt une invitation à interagir! C’est ce que le format «Plein écran interactif» de La Presse permet. Une expérience qui s’affiche entre deux articles (lecteur attentif), qui est cliquable, engageante et utile pour le lecteur. Lorsqu’on utilise le bon levier, c’est puissant parce qu’on crée un engagement actif avec l’auditoire.    

    #3 Domination de marque (Météo Média) 

    Rejoindre exclusivement la population d’une petite ville peut parfois être un défi de taille. Moins il y a d’habitants, moins il y a d’options publicitaires numériques ciblées.   

    C’est là que la domination de marque de Météo Média permet une belle optimisation du budget publicitaire. Avec 100% de l'inventaire sur les pages de villes ciblées pour une période de 24 heures, on rejoint facilement la population. C'est efficace!  

           
    #4 OHdio (Radio-Canada)  

    Dans un monde saturé d’images, l’audio revient en force; l’écoute de balados est en hausse au Québec (+20% par an). Dans ce contexte, le placement publicitaire sur OHdio est une avenue stratégique intéressante. 

    On exploite ici l’univers audio immersif et la crédibilité de Radio-Canada. C’est utile pour rejoindre un auditoire plus jeune, curieux et engagé. Attention: il faut utiliser cette stratégie seulement si c’est pertinent pour vos objectifs et votre cible! Il ne faut pas se jeter dans les podcasts sans une stratégie claire.  

    #5 Formats Premium (Le Soleil) 

    Un concept visuel adapté, qui prend sa place sur l’écran et qui livre des résultats exceptionnels. On dit oui!   

    Les taux de clics (CTR) des formats premium du Soleil atteignent 10%, c’est énorme (les standards de l’industrie sont entre 0,20% et 1%). Des formats qui sont vus, mais aussi cliqués, on adore!   

    Au final? 

    Acheter local, c’est une décision marketing éclairée. 

    Miser sur les médias d’ici permet de maximiser son impact là où ça compte vraiment: auprès d’un public engagé, dans un environnement de confiance et avec des résultats concrets. 

    Bien sûr, il faut utiliser ces placements de manière stratégique, en choisissant ceux qui répondent à nos objectifs, qui parlent à notre cible et qui maximisent notre budget. C’est ce dans quoi on s’amuse à longueur de journée!   

    Intrigué par nos 5 coups de cœur (et on en a plein d’autres!)? Il est peut-être temps de s’asseoir avec nous et discuter des possibilités de placement dans les médias locaux. 😊 

    Ce n’est pas facile savoir par où commencer en matière de pub et de stratégie marketing.  

    Peut-être que vous avez déjà investi en pub, testé plusieurs plateformes… sans vraiment avoir pris le temps d’analyser votre situation de fond en comble, de vous situer par rapport à vos compétiteurs, de regarder le retour sur investissement concret de vos actions actuelles?   

    C’est là que les enlignements stratégiques marketing entrent en scène. 

    OK, mais… c’est quoi des enlignements stratégiques? 

    C’est LA base. 
    Le service le plus complet qu’on offre pour vous donner une vision claire, alignée, et surtout efficace de votre marketing. 

    Concrètement, on fait une analyse 360° de votre situation actuelle pour bâtir un plan d’action cohérent, structuré et axé sur des résultats concrets. 

    On prend le temps de bien comprendre et d’analyser : 
    ✔ Votre image de marque 
    ✔ Vos plateformes numériques (site web, réseaux sociaux, infolettre, etc.) 
    ✔ Vos actions publicitaires passées 
    ✔ Vos compétiteurs 
    ✔ Votre clientèle cible (et ses comportements) 

    Bref, on plonge dans toute votre réalité pour en faire ressortir des recommandations stratégiques, claires et concrètes.  

    Pourquoi c’est essentiel? 

    Parce qu’un bon marketing, ça part d’une bonne structure. 
    Les enlignements stratégiques, c’est ce qui vous permet de : 

    ➡ Avoir une vision claire de vos actions publicitaires 
    ➡ Centraliser vos efforts sous une seule et même ligne directrice 
    ➡ Rejoindre la bonne cible 
    ➡ Identifier les opportunités (et éviter les pièges) 
    ➡ Maximiser vos investissements marketing  

    Sans direction claire, vos actions marketing risquent de s’éparpiller. 
    Avec un plan solide? Vous augmentez votre impact, vos résultats... et votre retour sur investissement. 

    Peu importe où vous en êtes — démarrage, croissance, repositionnement — un enlignement stratégique vous donne une fondation béton pour bâtir des campagnes payantes et alignées à vos objectifs. 

    Vous voulez une stratégie marketing qui a du sens et qui livre des résultats? 

    Contactez-nous. On s’occupe de vous enligner comme il faut. 

    Si vous aimez les publicités de tondeuse, on ne juge pas! Mais avouez que la scène est familière. On visite un nouveau site web, une bannière s’affiche et, sans réfléchir, on clique sur « Tout refuser ». Parce que bon… les cookies, ça sonne un peu intrusif, non? Mais est-ce que de les refuser systématiquement est une bonne idée? Pas toujours. Voici pourquoi ça vaut parfois la peine d’appuyer sur « Accepter »

    La publicité ne disparaît pas 

    Refuser les cookies ne veut pas dire pas de publicités. Les annonces continueront d'apparaître sur votre écran — au lieu d’être ciblées, elles seront... aléatoires. Pas forcément en lien avec ce que vous aimez ou cherchez. C’est là qu’arrivent les publicités de tondeuses et de fabricants de portes et fenêtres perdues entre deux pubs de parfum et de chaussures que vous avez regardé 4 fois hier soir. On n’a rien contre les tondeuses, promis! Mais, sans vouloir généraliser, ce n’est pas nécessairement le match parfait pour tout le monde. 

    Personnalisation = meilleure expérience 
    Accepter les cookies c’est améliorer sa navigation : 

    • Des publicités plus pertinentes 
    • Du contenu adapté à vos centre d’intérêts 
    • Votre langue mémorisée automatiquement  
    • Vos articles restent dans votre panier d’achat  

    Et la vie privée dans tout ça? 
    Les cookies ne riment plus avec perte de contrôle. Leur usage est encadré par la loi. 

    • Les sites doivent faire preuve de transparence sur ce qu’ils collectent. 
    • Vos données et informations personnelles sont protégées. 
    • Vous avez le droit de modifier ou supprimer vos préférences à tout moment. 

    Bref, la personnalisation et le respect de la vie privée peuvent cohabiter. 

    En résumé 
    Refuser les cookies par réflexe, c’est compréhensible.  

    Mais les accepter intelligemment, c’est souvent mieux. 

    Si c’est pour avoir de la pub, autant qu’elle vous ressemble un peu, non? 

    On vous donne le punch en partant : avec l’IA, on ne parle plus de tendance.  

    On parle de transformation.  

    L’IA, ce n’est pas une simple « tendance » passagère. C’est une transformation d’entreprise qui s'opère, aussi importante que la transformation numérique. Il y aura un « avant » et un « après », et le futur s’écrit dès maintenant. 

    L'automne dernier, on assistait à la conférence « Propulser vos stratégies marketing avec l’intelligence artificielle », et voici deux points clés qui nous ont marqués : 

    Identifiez les projets où l’IA fait vraiment la différence. Pas question de l’utiliser pour le simple plaisir de dire « on fait de l’IA ». L’objectif, c’est d’ajouter de la valeur là où ça compte.  

    🔮 Exploitez l’analyse prédictive.  Avec l’IA, les données peuvent devenir des leviers stratégiques pour accroître l’efficacité et prendre une longueur d’avance. 

    Un immense merci à Élizabeth Henry, dont les idées inspirantes nous propulsent à réfléchir (et agir!) autrement. 🙌 

    Bref, on a les deux pieds dans l’avenir, et on aime ça. Pas vous?  

    - Signé : Le créateur de contenu de l’agence, toujours à l’affût des idées brillantes (et qui se demande quand une IA pourra écrire ses légendaires jeux de mots). 😏» 

    Les investissements publicitaires de vidéos en ligne (TVA+, TOU.tv, Crave, Netflix, Prime, Disney, YouTube, etc.) versus la télé linéaire sont disproportionnés par rapport à leur consommation.

    Ce qui l'explique, selon nous :

    - Les coûts de production des vidéos en ligne : c'est moins cher

    - Le data : on a accès à des statistiques

    - Nos biais : on peut supposer que les acheteurs médias tombent dans le piège de placer dans ce qu'ils consomment plutôt que dans ce que leur clientèle cible consomme!

    La force de notre travail au quotidien est là.

    Nos analyses et nos réflexions stratégiques sont impartiales et fondées sur les faits. On pousse plus loin pour maximiser le budget publicitaire de nos clients!

    Beez a eu 20 ans cette année, c’est beau, c’est gros. Je pense que la beauté dans tout ça est surtout la fidélité que nos clients nous portent. La fidélité client rime aussi avec référencement et il n’y a rien de plus précieux que la référence d’un client. 

    La meilleure preuve de reconnaissance qui existe 

    Gens en vente ou en affaires, vous me comprendrez sans doute : rien ne démontre plus la satisfaction d’un client que de se faire référer. N’est-ce pas? Une personne ne réfèrera jamais quelqu’un en qui elle n’a pas confiance. Une référence, c’est flatteur, c’est smatt, touchant.  Nos clients nous le démontrent souvent qu’ils sont satisfaits, heureux de leurs résultats, et fiers de faire partie de la famille Beez. Pour moi, c’est le comble du bonheur lorsqu’ils nous réfèrent à leurs connaissances, car les actions pèsent plus que les mots.  

    Le temps, c’est de l’argent!  

      C’est payant pour une entreprise, car c’est quasiment un mandat assuré. Le développement des affaires que la directrice de compte a à faire est complètement différent que pour celui d’un prospect. On s’entend, je ne dis pas qu’il y a moins d’amour et d’énergie à mettre, bien au contraire! Par contre, ça amène un point commun qui facilite les premiers échanges. 

      C’est comme quand ta meilleure amie te présente l’homme de ta vie : tu lui fais confiance les yeux fermés, car elle te connait plus que quiconque et connait souvent mieux tes goûts/tes besoins. Tu vas y aller parce que tu as confiance en elle et que tu le sais qu’elle ne te présenterait pas un « tout croche » (en tout cas, j’espère, sinon change de meilleure amie). L’étape du flirt est un peu moins intense, un peu moins stressante. Cela ne veut cependant pas dire qu’on n’a pas de piquant à mettre et qu’on ne doit pas livrer la marchandise.  

      Gérer la pression supplémentaire 

        Bien sûr que c’est l’fun et gratifiant. Par contre, ça vient aussi avec son lot de défis et une belle pression :  celle de ne pas décevoir la personne qui nous a référé. En toute transparence, il n’y aurait rien de plus GÊNANT qu’un mandat qui ne va pas bien alors que c’est un client de longue date qui nous aurait référé. Nous sommes humains et nous ne sommes pas à l’abri d’une erreur même si on fait tout pour les éviter. Évidemment, tout est dans la manière de rectifier le tir, de gérer et d’apporter des correctifs. 

        La confiance est le pilier de notre réussite. À chaque fois qu’un client nous réfère, on le prend comme un cadeau et c’est la preuve de la confiance que l’on a bâti au fil des ans. C’est plus qu’une opportunité d’affaires, c’est un témoignage de satisfaction, une reconnaissance de grande valeur.

          Comment ça se vit chez nous la gestion responsabilisante et participative? 

          On me demande souvent ce que c'est? Comment on y arrive? Pourquoi on aime ce modèle de gestion?  

          C'est très humblement que je vous partage des idées et concepts qui marchent chez Beez, autant pour moi que pour les gens que j’embauche.  

          Culture d’entreprise  

          Premièrement, Il y a une culture d’entreprise qui doit être définie (bien qu’en constante évolution) et endossée par tous les membres de l’équipe. Quand une personne fit moins, ça se sent très rapidement. L’empathie, l’entraide et la générosité deviennent des qualités qui favorisent une belle cohésion. 

          Être capable de s’arrêter et réfléchir 

          Mettre en place un mode de gestion participative et responsabilisante, ça ne se fait pas en criant ciseaux... et ça commence bien avant qu’on décide de l’appeler comme ça! Depuis 20 ans chez Beez, le concept de réunion annuelle existe. C'est un moment de réflexion, de mise au point, de direction et d’enlignements stratégiques. Ça m'a toujours paru très juste et normal de partager une vision avec l’équipe si je veux qu’on avance ensemble dans la même direction.  

          Pendant longtemps, j’ai fait ça à 2, en ayant préalablement consulté l’équipe, mais en ayant, aussi, cette fausse impression que je devais dire où et comment y aller. De retour, je prenais le temps de transmettre à l’équipe. Maintenant, c’est en groupe que ça se passe. Les problématiques et les opportunités, on les observe et on les gère ensemble.  

          Croire en l’intelligence collective 

          Ça prend une bonne dose d'ouverture et beaucoup d’écoute. Les gens n’ont pas toujours les bons mots et ne mettent pas toujours le doigt exactement sur le bobo, mais ils savent puisqu’ils baignent dedans au quotidien. C’est eux qui ont l’information et c’est en réfléchissant ensemble qu’on a les réponses et solutions. Ainsi, en se mettant tous au même diapason, tout se met en branle de façon assez magique, et ce, avant même que le plan de match ne soit terminé! 

          On est co-responsable 

          C’est là qu’entre en jeu la co-responsabilité. La fameuse phrase « Ensemble on va plus loin » est tellement vraie. Le leader qui veut tout diriger et contrôler est, selon moi, voué à la fatigue et à l’échec, car pousser les gens est vraiment épuisant. Porter seul la charge de dossier peut-être démotivant et lourd. On n'a pas tous les talents d'où l'importance que chacun soit dans ses forces. On est, aussi, co-responsable de l’esprit d’une équipe et de son niveau de bonheur! 

          voir vidéo inspirante: https://www.youtube.com/watch?v=tuE-P9_Dm8U

          Être réaliste dans les attentes  

          Tous les défis ne sont pas à la portée de tous et de manière égale et équitable. Un nouveau qui débute sa carrière n’a pas la même expérience pour décortiquer et analyser un projet ni pour rebondir. Il est important de donner des responsabilités à leur hauteur. Dans un environnement de ce genre, tous veulent contribuer et se rendre utiles. C’est pourquoi je divise les projets et dossiers et que je demande qui se sent interpellé pour le prendre en charge ou pour collaborer avec le responsable du projet. Il y a, aussi, les projets comme le party de Noël, qui peuvent être à la charge d’un nouveau. On s’entend que c’est une belle façon de se faire les dents sans que les conséquences puissent être trop difficiles. Apprendre à la dure a ses bons côtés, mais je préfère la douceur! En bonus, j’ai la chance de vivre un party de Noël complètement différent d’une année à l’autre, qui en plus est une totale surprise (pour moi qui adore les surprises en plus, c'est win-win!) 

          Être à l’écoute et se donner du temps 

          Les équipes ont besoin de me consulter. L’idée n’est pas qu’elles se sentent pitcher dans l’inconnu, comme il n’y a pas de médaille pour avoir tout fait sans demander de l'aide ou un avis, bien que j’encourage l’autonomie et la débrouillardise. Ça prend du temps, on fait des tests, il y a des concepts qu’on questionne, revisite, qu’on améliore et d’autres qu’on ne reconduit tout simplement pas. La plupart, pour ma plus grande joie, s’améliorent. Mais l’écoute doit être une qualité primordiale, car lorsqu’on écoute bien, on sait!  

          Il nous arrive même de méditer pour mieux écouter. Ça peut sembler bizarre les premières fois pour certaines personnes et ça me gênait, moi aussi, les premières fois, mais l’équipe le demande. Ça doit faire du bien à tout le monde finalement. 

          En fin de compte, c'est une foule de choses qui font que ça marche pour moi, pour Beez. On travaille fort, dans un but commun, tous dans le même bateau et on va plus loin, ensemble.  

          «Savoir faire, c’est une chose. Savoir ce qu’il ne faut pas faire, c’est presque aussi important.»
          - Marcel Bleustein-Blanchet


          Piège n1  – Vouloir le beurre, l’argent du beurre et la fermière avec! 

          Bien choisir votre objectif est primordial… à courir plusieurs lièvres à la fois on risque de n'en tuer aucun. 

          Astuce: Identifier vos problématiques peut vous aider à choisir son objectif.

          Piège no 2 - Je. Me. Moi. 

          Faire des choix en fonction de vous, l'un des pièges les plus durs à éviter! 

          On n’est pas nécessairement la cible. Il faut avoir du recul et être objectif en pub.

          Astuce : Précisez vos clientèles et déterminez vos personas. Mieux: affichez vos personas dans votre bureau et, pour chaque décision, demandez-vous si votre persona est d’accord.

          Piège no 3 - Faire des petits sploushs!

          C'est-à-dire vouloir tout faire, mais un petit peu.

          Faire le plein quelque part pour se différencier est primordial.
          On ne peut pas tout faire, vaut mieux faire une chose bien que cinq ordinaires.

          Astuce : Visez la fréquence.

          Piège no 4 – Avoir peur de se mouiller.

          Ou mettre un peu de budget « pour voir ».

          On vous aura avertis : ça ne donnera pas de résultats.
          Ça prend un minimum d'investissement pour faire une bonne campagne.

          Astuce : Demandez au média le budget minimum pour faire une bonne campagne, et non le budget minimum pour faire une campagne.

          Piège no 5 – Pêcher quand y'a pas de poisson.

          L'idée de mettre des dollars pub dans les périodes creuses... vaut mieux pêcher quand il y a du poisson!

          Faites le plein des mois payants avant de mettre du temps, de l’énergie et des dollars dans les mois faibles.

          Astuce : Mettez vos dollars pub lorsque votre client est prêt à consommer.

          Piège no 6 – Se laisser mettre de la poudre aux yeux.

          Tous les médias sont bons, ils ont tous des forces et des faiblesses... mais il faut choisir ceux qui joignent notre cible.

          Ne vous laissez pas convaincre par les belles présentations médias. 

          Astuce : Demandez aux médias des statistiques sur le profil de leur auditoire et évaluez-les sur une même base pour choisir le meilleur pour vous. Attention, le nombre de personnes qui consomment le média n'est pas la statistique la plus pertinente. Même un Pepsi de ce monde n'a pas les dollars pour acheter l'inventaire complet d'un million de lecteurs par mois!

          Piège no 7 – Faire des pizzas. 

          À vouloir tout dire, on ne dit rien.

          On veut souvent donner plusieurs informations dans une publicité, on veut tout dire quoi!
          Une publicité trop chargée ne passe pas le message que l’on veut et ne retient pas l’attention. 

          Un visuel = un message

          À éviter : Ne mettez pas votre numéro de téléphone dans vos pubs télé, radio et affichage. 

          Piège no 8 – Rester assis sur son steak.  

          L'indécision et l'inaction ... trop c'est comme pas assez! 

          Prendre le temps de bien évaluer, réfléchir aux multiples possibilités, oui, mais pas à en virer fou et figer.

          Il existe des milliers de stratégies possibles, il faut prendre des décisions (il y a plusieurs bonnes solutions).

          Piège no 9 – Mon beau-frère est capable.

          Ou lésiner sur le budget de production.

          La production est souvent l’enfant pauvre de la publicité. Il faut se démarquer, car la créativité est primordiale. 

          En plus du concept percutant, il faut adapter vos productions en fonction de vos personas (on ne s’adresse pas de la même façon à un adulte de 35 ans qu’à une femme de 65 ans) et des médias (on ne met pas le même visuel dans une pub journal que sur un statique Facebook). 

          Piège no 10 - Abracadabra!

          Penser que la publicité c’est magique... bin non.

          Il n’y a rien de magique, s’il y avait une recette magique, tout le monde serait millionnaire et se la coulerait douce.

          Soyez réaliste...Ne pensez pas qu’avec deux semaines de pub le monde va faire la file. 

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