On vous donne le punch en partant : avec l’IA, on ne parle plus de tendance.
On parle de transformation.
L’IA, ce n’est pas une simple « tendance » passagère. C’est une transformation d’entreprise qui s'opère, aussi importante que la transformation numérique. Il y aura un « avant » et un « après », et le futur s’écrit dès maintenant.
L'automne dernier, on assistait à la conférence « Propulser vos stratégies marketing avec l’intelligence artificielle », et voici deux points clés qui nous ont marqués :
✨ Identifiez les projets où l’IA fait vraiment la différence. Pas question de l’utiliser pour le simple plaisir de dire « on fait de l’IA ». L’objectif, c’est d’ajouter de la valeur là où ça compte.
🔮 Exploitez l’analyse prédictive. Avec l’IA, les données peuvent devenir des leviers stratégiques pour accroître l’efficacité et prendre une longueur d’avance.
Un immense merci à Élizabeth Henry, dont les idées inspirantes nous propulsent à réfléchir (et agir!) autrement. 🙌
Bref, on a les deux pieds dans l’avenir, et on aime ça. Pas vous?
- Signé : Le créateur de contenu de l’agence, toujours à l’affût des idées brillantes (et qui se demande quand une IA pourra écrire ses légendaires jeux de mots). 😏»
La première facture incluant la nouvelle taxe de Google arrive bientôt. Pour les annonceurs canadiens, cette taxe sera appliquée dès la facture de novembre, basée sur vos dépenses publicitaires d'octobre.
Mais de quoi s'agit-il exactement ?
Qu’est-ce que cette taxe ?
Cette nouvelle taxe de Google (appelée DST pour Digital Services Tax) est une réponse au gouvernement canadien qui force les grandes entreprises technologiques, comme Google, à contribuer davantage à l’économie locale, notamment pour soutenir les médias et la culture canadienne.
Elle découle, entre autres, de la Loi sur les nouvelles en ligne (projet de loi C-18), visant à équilibrer les rapports entre les plateformes numériques et les médias canadiens.
Comment cette taxe est-elle calculée ?
Google appliquera un pourcentage supplémentaire (2,5%) sur vos dépenses publicitaires. Cela signifie que pour chaque dollar dépensé en publicité, un montant additionnel sera facturé pour couvrir cette nouvelle taxe.
Par exemple, si vous dépensez 1 000$ en octobre, Google ajoutera 2,5 % de taxe sur ce montant, soit 25$. Votre facture totale pour novembre serait donc de 1 025$
Ce supplément apparaîtra sur votre facture Google Ads à partir de novembre, reflétant vos dépenses du mois précédent.
Notre avis chez Beez Agence Marketing
Chez Beez, nous croyons que demander à de grandes entreprises comme Google de contribuer aux fonds culturels et médiatiques canadiens est une bonne initiative.
Cependant, ce qui nous dérange, c’est que Google fait porter ce coût directement aux annonceurs. Une entreprise aussi grande et rentable pourrait très bien absorber cette taxe sans la refiler à ses clients. C’est un peu comme si on nous demandait de soutenir une cause noble, mais qu’au final, c’est nous qui finissons par payer la facture.
Des alternatives locales avantageuses
Bien sûr, nous continuons à offrir des placements sur Google, nous souhaitons également rappeler qu’il existe de belles options numériques locales.
Depuis 20 ans chez Beez Agence Marketing, nous développons des partenariats solides avec nos médias québécois, qui nous permettent de proposer des placements publicitaires tout aussi performants, et souvent à des prix très avantageux.
Nous croyons qu'il est important de soutenir les entreprises locales tout en maximisant les retours sur investissement de nos campagnes.
Grâce à notre expertise et à nos partenariats locaux, nous vous aidons à naviguer à travers ces changements tout en continuant à obtenir d’excellents résultats sur vos campagnes publicitaires.
Les investissements publicitaires de vidéos en ligne (TVA+, TOU.tv, Crave, Netflix, Prime, Disney, YouTube, etc.) versus la télé linéaire sont disproportionnés par rapport à leur consommation.
Ce qui l'explique, selon nous :
- Les coûts de production des vidéos en ligne : c'est moins cher
- Le data : on a accès à des statistiques
- Nos biais : on peut supposer que les acheteurs médias tombent dans le piège de placer dans ce qu'ils consomment plutôt que dans ce que leur clientèle cible consomme!
La force de notre travail au quotidien est là.
Nos analyses et nos réflexions stratégiques sont impartiales et fondées sur les faits. On pousse plus loin pour maximiser le budget publicitaire de nos clients!
Constats après 6 semaines!
Dans l’effervescence de nos vies professionnelles, le stress est malheureusement une perturbation trop souvent présente. Il y a quelques semaines, nous avons pris des actions concrètes afin d’éliminer des sources de stress subtiles, mais omniprésentes, qui nuisent à faire « tripper notre cerveau ». Parce qu’un cerveau qui trippe est un cerveau productif!
Voici nos 4 stratégies visant à repenser nos façons de travailler pour diminuer le stress. Découvrez ce qui fonctionne le mieux, du moins pour nous!
Stratégie 1: La gestion des notifications
Nous sommes bombardés de notifications qui dérangent notre cerveau (courriel, textos, message TEAMS, messages provenant des réseaux sociaux, etc.). Nous avons tenté de les éliminer et force est d’admettre que pour le moment, réduire est suffisant. Changer des habitudes n’est pas facile. Il n’y a pas de solution miracle qui fonctionne à tout coup pour tout le monde. Une chose est certaine, diminuer au maximum les «ding» nous aide à rester focus plus longtemps dans nos tâches en cours.
Stratégie 2 : La journée de travail en profondeur
Travailler sur des tâches qui demandent plus de concentration sans ressentir l'urgence de répondre instantanément aux messages de nos collègues est une belle victoire! En se concentrant sur des périodes dédiées à des tâches spécifiques qui demandent plus de jus de cerveau, on parvient à gérer plus efficacement notre temps. Se créer une règle pour les urgences « code rouge » nous a permis de conserver une communication efficace!
Stratégie 3 : Le téléphone, mon meilleur ami
Stratégie gagnante pour justement gagner du temps, le téléphone! On l’utilise beaucoup plus pour se parler de vive voix ou par vidéoconférence! On surutilise les textos et courriels en croyant faussement que c’est plus rapide, mais on peut maintenant témoigner que c’est faux. Le temps de réponse de notre interlocuteur nous place souvent dans un délai d’attente. En appelant, on obtient une réponse plus rapide et ça nous permet de dire un « bonjour » de vive voix! Pas mal plus humain et agréable au final!
Stratégie 4 : Les courriels ont leur limite
On perd souvent trop de temps à écrire de longs messages détaillés ou d’attendre une réponse des autres par courriel. Notre truc : quand on commence à «dérouler le rebord», c'est un signe de prendre le téléphone! En utilisant adéquatement les courriels pour les suivis d’approbation, résumés de conversation ou pour garder des traces écrites, on gagne du temps et on diminue considérablement les messages!
En conclusion
La majorité d’entre nous ont ressenti l’effet positif de nos actions et se sentent moins stressées. Définitivement, lorsque notre cerveau est interrompu, il lui faut plusieurs minutes avant de retrouver son même niveau de concentration. Notre nouvelle devise : un cerveau qui trippe est un cerveau productif! La simple prise de conscience de cette réalité nous fait déjà évoluer vers un meilleur équilibre tant au niveau de l’accomplissement que du bien-être mental. La diversité des exigences professionnelles, ainsi que les besoins de chacun, nécessitent tout de même une adaptation. Ce qui fonctionne pour certains peut être moins approprié pour d'autres. Il est donc essentiel de faire preuve de gros bon sens!
Des habitudes, ça prend du temps à changer. C’est comme l’entrainement, ça demande de la motivation et de l’effort pour adopter de nouvelles façons de faire. Ancrer de saines habitudes pour notre bien-être mental, c’est un travail en continu, mais il ne faut pas lâcher. Nos 2 stratégies chouchous : le téléphone et la journée de travail en profondeur! Des boites courriel moins débordées et d'avoir des périodes dédiées où on travaille de manière concentrée ça nous plait!! Notre première lutte de 6 semaines est assez convaincante pour passer en phase 2! On poursuit sur notre belle lancée pour faire de ces nouvelles stratégies, des habitudes qui seront bien ancrées au sein de l’équipe et surtout qui permettront de faire tripper nos beaux cerveaux!
LES PERCEPTIONS DU TRADITIONNEL
On le dit souvent, mais le portrait médiatique a tellement changé dans les dernières années, c’est fou!
Une chose qui nous agaçait depuis longtemps est l’utilisation du terme «médias traditionnels» lorsque l’on parle de télé, radio ou journal. Cela sous-entend qu’ils sont classiques, conventionnels et immuables. On entend même des clients dire qu’ils ne veulent pas faire de médias traditionnels comme si c’était dépassé!
Pourtant, ces médias ont développé un volet numérique et réseaux sociaux à vitesse grand V et ça continue! Ils sont de plus en plus novateurs dans leurs offres de produits/formats.
De plus, il ne faut pas oublier les grandes forces de ces médias dits «traditionnels». Ce sont ces médias qui permettent aux entreprises d’acquérir de la notoriété et du rendement à long terme.
REVOIR NOTRE DISCOURS
Une grande réflexion a été entreprise et, depuis quelque temps, nous n'utilisons plus le terme «médias traditionnels» chez Beez. Maintenant, nous parlons de MÉDIAS PROPULSEURS et nous avons revu notre environnement médias afin de le synthétiser pour mieux l’expliquer à nos clients.
Nous croyons fermement que chaque média a ses forces et qu’un bon équilibre entre médias propulseurs et médias numériques apporte des résultats supérieurs. Nos campagnes basées sur cet équilibre prouvent.
NOUS LIBÉRONS LES DROITS!!
Sachez que si vous désirez utiliser le terme «média propulseur» au lieu de «traditionnel», nous libérons tous les droits! Nous pensons que ce serait bénéfique pour nos industries (agences et médias).
Image corporative ou publicitaire? On vous explique la différence!
Qu’est-ce qu’une image corporative?
Une image corporative est l’identité visuelle générale déclinée dans l’ensemble des pièces nécessaires à la représentation : carte d’affaires, site internet, document ou formulaire, etc.
Elle sert à bien positionner une entreprise dans son marché pour se démarquer de ses compétiteurs. Établir une image graphique solide, la décliner uniformément, favorise la notoriété et la reconnaissance.
En général, celle-ci peut être utilisée un minimum de 3 ans, à condition qu’elle ait un style plutôt intemporel.
Starbucks est un exemple d’une image corporative établie.
Qu’est-ce qu’une image publicitaire?
Une image publicitaire sert à habiller visuellement l’ensemble des communications d’une campagne pour répondre aux objectifs d’une stratégie préétablie. Celle-ci doit être en concordance avec l’identité corporative.
Elle comporte souvent une ligne rédactionnelle forte qui complète le visuel et forme le message global. Le tout se doit d’endosser l’essence du positionnement pour ne pas dénaturer l’entité de l’entreprise.
La durée est définie dans le temps, selon les objectifs fixés, elle est plus éphémère versus l’image corporative.
L’uniformité dans le ton rédactionnel et le style graphique de toutes les déclinaisons, peu importe le média, est la recette magique pour s’assurer d’être vu et reconnu. Il est, alors, fort probable que les résultats de campagne soient au rendez-vous.
Des exemples de l’image publicitaire de Starbucks pour la campagne de Noël.
Image corporative ou publicitaire?
Une image corporative est la fondation d’une maison. Elle se doit d’être solide pour supporter le reste de la construction. L’image publicitaire correspond à chacune des pièces qui sera ajoutée pour former un tout harmonieux. Les deux sont nécessaires, il faut seulement utiliser la bonne au bon moment.
Il est recommandé d’établir l’image corporative d’abord, question de bien implanter la notoriété. Les résultats de la campagne publicitaire seront plus percutants si une campagne corporative a mis la table. On reconnaît alors rapidement l’annonceur et la cible sera davantage interpellée par le message publicitaire.
Si vous avez l’impression de toujours vous réinventer à chaque campagne publicitaire, c’est peut-être signe que vos fondations, que votre image corporative n’est pas bien instaurée? Mais comme le proverbe le dit si bien, mieux vaut tard que jamais!
«Savoir faire, c’est une chose. Savoir ce qu’il ne faut pas faire, c’est presque aussi important.»
- Marcel Bleustein-Blanchet
Piège no 1 – Vouloir le beurre, l’argent du beurre et la fermière avec!
Bien choisir votre objectif est primordial… à courir plusieurs lièvres à la fois on risque de n'en tuer aucun.
Astuce: Identifier vos problématiques peut vous aider à choisir son objectif.
Piège no 2 - Je. Me. Moi.
Faire des choix en fonction de vous, l'un des pièges les plus durs à éviter!
On n’est pas nécessairement la cible. Il faut avoir du recul et être objectif en pub.
Astuce : Précisez vos clientèles et déterminez vos personas. Mieux: affichez vos personas dans votre bureau et, pour chaque décision, demandez-vous si votre persona est d’accord.
Piège no 3 - Faire des petits sploushs!
C'est-à-dire vouloir tout faire, mais un petit peu.
Faire le plein quelque part pour se différencier est primordial.
On ne peut pas tout faire, vaut mieux faire une chose bien que cinq ordinaires.
Astuce : Visez la fréquence.
Piège no 4 – Avoir peur de se mouiller.
Ou mettre un peu de budget « pour voir ».
On vous aura avertis : ça ne donnera pas de résultats.
Ça prend un minimum d'investissement pour faire une bonne campagne.
Astuce : Demandez au média le budget minimum pour faire une bonne campagne, et non le budget minimum pour faire une campagne.
Piège no 5 – Pêcher quand y'a pas de poisson.
L'idée de mettre des dollars pub dans les périodes creuses... vaut mieux pêcher quand il y a du poisson!
Faites le plein des mois payants avant de mettre du temps, de l’énergie et des dollars dans les mois faibles.
Astuce : Mettez vos dollars pub lorsque votre client est prêt à consommer.
Piège no 6 – Se laisser mettre de la poudre aux yeux.
Tous les médias sont bons, ils ont tous des forces et des faiblesses... mais il faut choisir ceux qui joignent notre cible.
Ne vous laissez pas convaincre par les belles présentations médias.
Astuce : Demandez aux médias des statistiques sur le profil de leur auditoire et évaluez-les sur une même base pour choisir le meilleur pour vous. Attention, le nombre de personnes qui consomment le média n'est pas la statistique la plus pertinente. Même un Pepsi de ce monde n'a pas les dollars pour acheter l'inventaire complet d'un million de lecteurs par mois!
Piège no 7 – Faire des pizzas.
À vouloir tout dire, on ne dit rien.
On veut souvent donner plusieurs informations dans une publicité, on veut tout dire quoi!
Une publicité trop chargée ne passe pas le message que l’on veut et ne retient pas l’attention.
Un visuel = un message
À éviter : Ne mettez pas votre numéro de téléphone dans vos pubs télé, radio et affichage.
Piège no 8 – Rester assis sur son steak.
L'indécision et l'inaction ... trop c'est comme pas assez!
Prendre le temps de bien évaluer, réfléchir aux multiples possibilités, oui, mais pas à en virer fou et figer.
Il existe des milliers de stratégies possibles, il faut prendre des décisions (il y a plusieurs bonnes solutions).
Piège no 9 – Mon beau-frère est capable.
Ou lésiner sur le budget de production.
La production est souvent l’enfant pauvre de la publicité. Il faut se démarquer, car la créativité est primordiale.
En plus du concept percutant, il faut adapter vos productions en fonction de vos personas (on ne s’adresse pas de la même façon à un adulte de 35 ans qu’à une femme de 65 ans) et des médias (on ne met pas le même visuel dans une pub journal que sur un statique Facebook).
Piège no 10 - Abracadabra!
Penser que la publicité c’est magique... bin non.
Il n’y a rien de magique, s’il y avait une recette magique, tout le monde serait millionnaire et se la coulerait douce.
Soyez réaliste...Ne pensez pas qu’avec deux semaines de pub le monde va faire la file.
Aujourd'hui, ça fait 20 ans que Beez existe!
20 ans d'aventures, de rencontres, de perfectionnement, d'avancement, de doutes et de craintes, mais, surtout, de joie et de fierté. Bref, 20 ANS à vivre à plein régime!
On va faire quoi pour nos 20 ans? CÉLÉBRER bien sûr! Ceux qui me connaissent bien savent que j'aime les célébrations. Elles permettent de souligner, de reconnaître, de prendre un temps d'arrêt pour apprécier, réaliser, se rencontrer, se poser et, aussi, de se propulser.
APPRÉCIER le fait qu'on a de bons clients. Des clients humains et performants. Des clients avec qui on fait équipe, dont certains depuis plus de 15 ans. Des amitiés se sont même développées au fil des années. Aujourd'hui, c'est avec nos clients que l'on débute les célébrations. On sort de l’agence pour faire une tournée surprise et prendre le temps de les remercier. Pourquoi? Parce que c'est grâce à eux que tout ça est possible. Je dis souvent à l'équipe que notre vrai boss c'est nos clients. C'est pour eux que l'on fait des stratégies et pour eux que l'on crée et produit des concepts et publicités percutants! Grâce à eux, on travaille et développe notre talent encore et encore!
RÉALISER qu'on a du talent, qu'on en a fait du chemin! Célébrer ce 20e veut dire saluer notre courage, notre détermination, notre résilience, notre persévérance, nos réussites, et nos améliorations dont on fait preuve dans les meilleurs et les moins bons moments. Cet automne, on célèbre notre talent avec une refonte complète de notre image! Mais pas que ça! On va également en faire profiter d’autres lors de notre concours qui aura comme prix un logo tout neuf! Stay tuned!
RECONNAÎTRE cette super équipe et leur dire merci encore. J'ai la chance de ne pas avoir que des collègues. J'ai une 2e famille. C'est rare, c'est précieux! Bon j'avoue, des fois, comme dans toute bonne famille, on se connaît un peu trop 😉 on se tombe sur les nerfs, on s’impatiente. Mais autour des valeurs que l’on partage, on se rattrape, on se rallie et on s'aime! Je le sais que c'est drôle de parler d'amour dans le cadre du travail, mais c'est ce que j'ai donné sans retenue et avec beaucoup de générosité depuis 20 ans et je ne l'ai jamais regretté. C’est pour célébrer cette famille Beez, qu’on changera complètement de décor en janvier pour notre réunion annuelle et notre party de Noël (il n’est jamais trop tard pour fêter Noël et le jour de l'an!). L’équipe ne sait pas où on décollera, mais ils auront assurément besoin de leur passeport et d’une serviette de plage!
RENCONTRER. 20 ANS, ça en fait des rencontres. Des bijoux de découvertes. Des gens avec qui on collabore avec professionnalisme et plaisir. Pour le printemps 2024, on veut les rassembler pour une grosse soirée! Tout le monde, fournisseurs, anciens beeziens, famille, amis, clients. Une soirée pour clôturer nos 20 ans et où on lâchera notre fou au profit de notre fondation chérie depuis plusieurs années, la Fondation CERVO!
20 ans ça se célèbre en grand et c'est ce qu'on a bien l'intention de faire! On va donc, dès aujourd'hui, célébrer et étirer le plaisir de ces célébrations toute l'année! Dire merci haut et fort! Dire stop au rythme effréné et oui à cet élan de reconnaissance envers les gens qui font partie de Beez et surtout célébrer cette chance!
La sortie des sondages est toujours un moment fort en émotions à l’agence et cette année n’y fait pas exception! On est toujours curieux de voir les résultats. Au-delà de connaître la station #1, il y a toutes les variations qui nous intéressent. C’est même ça notre grand plaisir de cette journée. On aime voir l’effet (sur une cible) d’un changement de son d’une station, d’une nouvelle émission, de l’arrivée d’un nouvel animateur ou le départ d’un autre.
Nous partageons gratuitement avec vous notre analyse neutre et détaillée de ces derniers sondages.
Qui dit campagne numérique performante sur Meta (Facebook/Instagram) dit optimisation de celle-ci.
Mais comment optimise-t-on une campagne? Par où commencer?
Décortiquer brièvement une méthode d’optimisation nommée le PACTO, acronyme d’une pyramide qui comprend 5 paliers, arrivera à démontrer l'importance d'une bonne optimisation.
Chaque lettre du PACTO représente l’un de ces paliers.
Au sommet de la pyramide, on retrouve les optimisations qui prennent le moins de temps à accomplir, tandis que plus on descend, plus les optimisations prennent du temps à modifier. De plus, les optimisations effectuées en haut de la pyramide sont plutôt éphémères comparativement à celles du bas qui sont quant à elles durables.
Voici donc les 5 étapes du PACTO.
Voilà, ça fait le tour du PACTO!
Besoin de soutien pour optimiser et gérer vos campagnes publicitaires sur Meta? Vos campagnes Facebook et Instagram ont besoin d’amour? Contactez-nous!